L’abécédaire de la notation de l’improvisation.
Ah! Quel bon moment, nous avons passé,
Bien improvisé, on en n’est point lassé,
Comme chaque fois pour conclure,
De faire la notation devient dur,
Et qu’ils soient de l’équipe bleu où rouge,
Faut du vocabulaire, faut qu’ça bouge,
Gangster, médecin, cow-boy ou policier,
Ho ! Pas d’hésitation, pour pouvoir apprécier,
Ils se doivent d’enchaîner les mots après les mots,
Joyeusement interprétés pour avoir des bravos,
Karatéka, judoka, lutteur ou flambeur,
Leur jeu doit se faire sans penser à la peur,
Même si le sujet leur semble embrouillé,
Ne pas flancher, il leur faut embrayer,
Ou imaginer de nouveaux quiproquos,
Pour faire rire l’assemblé, obtenir le banco,
Quelle belle soirée, qu’avec eux, on a partagé,
Rien ne les arrête, sans jamais patauger,
Saluons ici toutes leurs performances,
Totalement inventées, c’est l’évidence,
Une réjouissance qui par vos cartons,
Va conclure leurs trop courtes apparitions,
Wallon ou flamant, là n’est pas la question,
Xavier ou Gertrude, tout pour l’émotion
Y à qu’a s’laisser emporter par leurs récits,
Zut, c’est déjà fini.
Ah! Quel bon moment, nous avons passé,
Bien improvisé, on en n’est point lassé,
Comme chaque fois pour conclure,
De faire la notation devient dur,
Et qu’ils soient de l’équipe bleu où rouge,
Faut du vocabulaire, faut qu’ça bouge,
Gangster, médecin, cow-boy ou policier,
Ho ! Pas d’hésitation, pour pouvoir apprécier,
Ils se doivent d’enchaîner les mots après les mots,
Joyeusement interprétés pour avoir des bravos,
Karatéka, judoka, lutteur ou flambeur,
Leur jeu doit se faire sans penser à la peur,
Même si le sujet leur semble embrouillé,
Ne pas flancher, il leur faut embrayer,
Ou imaginer de nouveaux quiproquos,
Pour faire rire l’assemblé, obtenir le banco,
Quelle belle soirée, qu’avec eux, on a partagé,
Rien ne les arrête, sans jamais patauger,
Saluons ici toutes leurs performances,
Totalement inventées, c’est l’évidence,
Une réjouissance qui par vos cartons,
Va conclure leurs trop courtes apparitions,
Wallon ou flamant, là n’est pas la question,
Xavier ou Gertrude, tout pour l’émotion
Y à qu’a s’laisser emporter par leurs récits,
Zut, c’est déjà fini.